Pianiste, violoniste et musicothérapeute, Pascale Tachot enseigne la musique depuis plus de 30 ans. Ayant, comme elle dit, « une âme de chef d’entreprise en plus’, elle a fondé en 2006 l’école de musique Allegria qu’elle dirige aujourd’hui avec grand succès à Paris et à Luxembourg, où elle vient de créer une antenne, enseignant au sein de la maison des Pianos Kléber, dans la capitale, mais un enseignement à domicile est également possible. Ses cours s’adressant non seulement aux enfants débutants, aux jeunes mais également aux adultes souhaitant se perfectionner.
Pascale Tachot, diplômée du Conservatoire Européen fondé par Henri Sauguet, de la Hochschule de Vienne et de l’école Suzuki au Japon, elle a été l’élève de grands maîtres tels que Yehudi Menuhin, Youri Pochtar, Daniel Boussac et Geneviève de Velay Talbot.
Ses différentes expériences musicales à l’étranger, facilitées par la pratique de plusieurs langues, font de Pascale Tachot une artiste hors pair.Convaincue des bienfaits de la musique sur la santé, elle a aussi suivi des études de musicothérapie qu’elle met en pratique au service du monde médical.
Si dans un premier temps, la branche luxembourgeoise ne prévoit que le piano, les cours à Paris sont dispensés pour le piano, le violon et le chant. Ils peuvent être individuels ou collectifs.
Actuellement, trois musiciens professionnels assurent l’enseignement aux côtés de Pascale Tachot: Laurence Bonnamour anime des ateliers destinés aux enfants, Akemi Nakayama enseigne le chant et Quentin Jaussaud, membre de l’orchestre Philharmonique du Luxembourg enseigne le violon.
A la question pourquoi elle a créé cette école privée, Pascale Tachot répond: « Je ne supporte pas les structures rigides. Mon école dispense un enseignement qui est adapté, qui est à l’écoute de l’élève et de ses besoins, qui respecte la personnalité de chacun et pend en considération ses aptitudes individuelles, ce qui nous permet d’accompagner chacun tout au long de son parcours. » En effet, Allegria est aussi une école qui développe le coaching pour des élèves visant à exercer une carrière de musicien ou des musiciens professionnels.
Ce sont tous, là, des éléments qui vont bien au-delà de ce que la structure d’un conservatoire peut offrir: « Les professeurs d’Allegria n‘appliquent pas une méthode unique, mais privilégient l’écoute et le dialogue avec les élèves. Ils proposent, conseillent, suggèrent, adaptent et orientent, sans pour autant renoncer aux fondamentaux de l’enseignement. » Pascale Tachot a bien reconnu également le manque d’éducation générale parmi les jeunes générations d’aujourd’hui. Elle s’attache donc aussi à fournir des éléments de culture générale absolument nécessaire à chacun qui veut faire de la musique, elle amène également ses élèves au concert. « Chez nous », conclut-elle, « l’enseignement n’a rien de scolaire ».
Partenaire des pianos Hanlet et du Centre de musique Frédéric Hasselmann, l’école dispense ses cours rue du Rocher, à Paris, rue d’Orléans et rue du Commandant Pilot à Neuilly-sur-Seine, ainsi qu’à Luxembourg chez Pianos Kléber à la Rue Goethe. Un nouveau centre doit s’ouvrir bientôt à Vélizy, dans les locaux du siège de la société Hanlet. Forte d’un précédent organisé à l’université de Vienne, Allegria va également proposer à ses élèves et à tous les musiciens amateurs intéressés des master-classes dans des lieux d’exception, en France et en Europe.
Info: www.ecoledemusiqueallegria.eu
Abdresse mail: contact@ecoledemusiqueallegria.eu