Les disquaires français ont interpellé la ministre de la Culture. Dans une lettre à Aurélie Filippetti, le Calif (Club action des labels indépendants français) et le SDLC (Syndicat des distributeurs de loisirs culturels) ont réagi face aux conséquences de la crise du disque (disparition d’une moitié des acteurs de la filière, fermeture de magasins). Ils critiquent l’immobilisme du gouvernement et surtout un manque de cohérence dans la politique. Ils constatent une « disproportion gigantesque des aides la production phonographique face aux aides à la diffusion physique du disque. »